Une pensée par semaine...

... s'appelle une Étincelle. Si vous souhaitez la recevoir par courriel, ou par Whatsapp le lundi matin, merci de me le signaler.

      L'instant présent est précieux, unique. A la fois premier et dernier. Il contient l'éternité.

   

     Accepter c'est vivre. Se résigner c'est dépérir.

Le sourire se moque des rides. Il est le signe de l'éternelle jeunesse de l'âme.

La résilience c'est, de bond en rebond, franchir tous les obstacles de la vie et se sentir au paradis, dès aujourd'hui.

Authentique:

Un homme ne possédant pas grand chose m'a confié: "Je n'ai rien. Et c'est tout ce qu'il me faut".

Pratiquons l'Happyculture !

Deux amis se réjouissent:

-"Nous sommes faits l'un pour l'autre!"

-"Oui! Et nous sommes tout autant faits l'un par l'autre!"

Devenir pleinement humain. Et découvrir ainsi le divin en nous.

Haïku (tentative :-)

Les ans s'égrainent

Au grand cadran de la vie

Seul ce jour compte.

Nous nous réjouissons de nos possessions.

Or, ce sont elles qui souvent nous possèdent.

Libérer l'esprit de ce qui l'encombre et le pollue:

l'avidité, l'obsession d'avoir toujours raison. Quel décapage!

Ni l'ignorance, ni l'illusion.

Seule la réalité!

Éveil nocturne.

La paix. Le silence.

Je suis seul.

Les affaires des hommes ne viennent pas jusqu'ici.

Et c'est tant mieux!

Une famille heureuse fonctionne parfois comme une cheminée: quelques tirages entretiennent le foyer.

Haïku: Ne dit-on pas que l'une ne va pas sans l'autre?

Lune, je te vois

Mais n'aperçois pas l'autre.

Es-tu triste, Lune?

Il est où le bonheur?

Je le cherche. Parfois en vain. Il m'arrive même de désespérer.

Et pourtant ...

Il n'est pas à mille lieux.

Il est là: dans la pâquerette qui frissonne au vent mauvais, dans la goutte de pluie qui recèle un arc-en-ciel,

dans ton sourire qui me réchauffe le coeur ...

Nos enfants sont nos bourgeons.

Ils sont parfois aussi nos racines.

La paix se construit avec les matériaux que j'apporte.

Entretenir la rancune engendre la haine.

Chaque matin invite à la découverte, à l'unique condition d'ouvrir les yeux.


Si Dieu existe, je suis certain qu’il s’amuse de nos interprétations personnelles. Libre, Il veut que nous le soyons aussi. Il a en horreur d’être enfermé dans des systèmes.

Aujourd'hui, demain, toute la semaine, toute l'année 2025 : OSER !

Un ami me confiait: "Je ne veux plus me fâcher. Car après il m'est si difficile de me "défâcher"."

Donner à celui qui ne peut rien me rendre et sortir ainsi de la loi du donnant donnant.

Choisir de rester jeune -dans la tête!- garantit de vieillir heureux.

Une amitié peut être affectée d'une date de péremption.

Heureusement que l'étiquette qui la mentionne est illisible ...

Ne pas diviser, bannir la colère et la vengeance, enseigner et éduquer avec patience.

Plaisir: éphémère, Bonheur: durable.

"Seule une blessure qu'on cache affaiblit", ai-je lu quelque part.

Blessure au corps, blessure à l'âme. De l'écorchure au handicap. Pas de déni: mettre la blessure dans la lumière. Ouvrir les yeux sur elle, l'accepter. Et tant pis pour le regard des autres.

D'un enseignement bouddhiste: "L'instant présent est la seule demeure véritable."

Reconnaître mes défauts. Accorder mon pardon et être pardonné, à mon tour. Consoler et accepter d'être consolé.

Dire "Je suis arrivée" signifierait que je ne veux pas aller loin. (Sonam)

Acteur et non figurant de ma vie, je la commence aujourd'hui comme je l'avais rêvée hier.

"Toujours, longtemps, jamais" ... tuent "ici et maintenant".

Il m'arrive de me sentir à la bonne place, en harmonie avec l'univers. Je suis alors au paradis. Trop rarement

Une opportunité c'est comme une étoile filante: elle ne passe qu'une fois.

Quand quelqu’un me dit ce qu’il fait, je suis impatient d’apprendre qui il est.

Chaque religion succombe à une tentation suprême : posséder La vérité.


Devenir pour être. Sans jamais paraître.


Quand une situation semble désespérée :

Au lieu de dire “non,non,non!”, dire “oui,oui,oui!” et l'accepter.


Ralentir, m'arrêter ⏸️ 🚦et être pleinement à la disposition de moi-même.


Ne pas s'accrocher aux lambeaux du passé.

C'est du renoncement que naissent les choses nouvelles.


Pouvoir choisir et ne pas me sentir frustré. C'est un apprentissage constant.

“Les paroles s'envolent “ dit-on. Certes, mais elles s'inscrivent dans le cœur et peuvent le réchauffer ou le blesser durablement.


Je suis ici et maintenant.

Je suis donc chez moi.

Les génies existent! Certains sont hyper connus. D’autres moins. Ils nous sont peut-être tout proches.

Quels qu’ils soient, ils ont en commun une grande humanité et une véritable humilité.


Coexister c'est bien.👥️

Se rencontrer c'est mieux !

🤝

Faire, défaire et refaire. Ne jamais arrêter de commencer.

Tous les jours je rencontre des saints. Ils sont aussi efficaces et aimables que discrets.

Et ne seront jamais canonisés.

Faire de son mieux, sachant que ce n'est peut-être pas le mieux.


La vie tient entre deux inconnues, deux béances: la naissance et la mort. Je n'ai prise que sur l'entre deux. C'est la bonne raison pour ne pas faire n'importe quoi.🙏

Nous restons de grands enfants. Seuls les jouets changent.


C'est drôle la vie, tout de même: il faut à la fois s'attendre à tout et ne s'inquiéter de rien. Pas facile!


Tant que j'apparais comme un modèle à mes propres yeux, je n'évolue pas.


Chaque jour de cette semaine, je note 2 événements qui me réjouissent. J’en éprouve de la gratitude.

La vie pèse parfois tel un énorme fardeau. Elle peut même fracasser.

Habiter le moment présent est alors le seul abri, le seul refuge.

Il paraît qu'il n'y a pas deux diamants identiques.

En fait, c'est comme nous deux, non?


Je suis croyant et j’aime espérer qu’on se reverra plus tard, bien plus tard.

Aujourd’hui, l'essentiel c'est de nous être rencontrés.

On ne naît pas libre. Toute la vie, il faut nous défaire de liens devenus inutiles, encombrants.

De cette libération naît la liberté.

Quitter le chemin tracé pour aller “ailleurs”. Un “ailleurs” inconnu, qui naît sous mes pas.


Chaque jour de 2026, que vais-je offrir dans mes “bonjour!” , dans mes poignées de main ?

À SUIVRE...